Liens

  • OLIOMOBILE
  • ENERZINE
  • BOUTS DE PLANETE
  • MANICORE
  • Medias Libres

Me contacter

Lundi 7 septembre 2009

Vendredi 4 Septembre, Interrogé par TF1 Xavier Bertrand déclare qu’avec la taxe carbone, il s’agit de « Transformer la fiscalité et non pas de l’augmenter… ». Supprimer la taxe professionnelle et en faire subir le poids financier sur le consommateur est bel et bien une transformation fiscale. Il fallait bien trouver un nom à cette révolution ; ce fut : « taxe carbone ». 

 

Après le « travailler plus pour gagner plus »,

 

On a maintenant le :

 

«…Consommer  des produits  qui n’existent pas encore, ou alors payer un d’impôt qui vous est remboursé plus tard sauf qu’on ne sait pas trop comment … ».

 

Dimanche 6 septembre 2009, perdu entre 32 et 14 euros la tonne de CO2, François Fillon tourne le dos au débat en qualifiant tout cela d’« agitation médiatique (…) dérisoire ».  Quand à Ségolène Royale elle nie totalement s’être engagée en 2007 à supporter le principe d’une taxation à finalité écologique.

 

Rappelons-le, La taxe carbone est conçue pour financer un renouveau économique et sociétal pérenne. Dès lors, entrevoir l’avenir suppose être capable de jugement critique sur le passé, or, c’est bien sur ce dernier point que les caciques de la république semblent quelque peu limités.

 

L’idée de changer d’ère économique serait elle si insupportable à nos dirigeants qu’ils en perdraient tous leurs moyens et toute créativité ?

 

Heureusement, Jean François Copé vient sauver in extremis la situation en réclamant que des revenus collectés soient destinés au développement d’une économie « verte ».

 

Il y en a donc au moins un qui semble comprendre les enjeux et les réponses qu’il conviendrait d’apporter.

Tout n'est peut être pas perdu...
Par Alternotre - Publié dans : Editos
Ecrire un commentaire - Voir les commentaires - Recommander  
Retour à l'accueil

Derniers Commentaires

Syndication

  • Flux RSS des articles

Recherche

Créer un blog sur over-blog.com - Contact - C.G.U. - Signaler un abus